Les lois en UX
Les lois en UX représentent un ensemble de théories user centric qui se basent sur des sciences cognitives, comme la psychologie cognitive, pour concevoir des interfaces utilisateur graphique (GUI) intuitives.
Elles consistent à assimiler les processus cognitifs humains afin de comprendre et de prédire les comportements de l’utilisateur. Ce qui permet de créer une expérience utilisateur idéale. Pour ce faire, l’UX designer a tout intérêt à les appliquer dans la conception de ses interfaces IHM. Il peut en profiter pour créer des interfaces simples, efficaces et faciles d’usage.
Pour rappel, lire : Les différentes lois en ergonomie et psychologie cognitive
Les lois de l’UX : la bonne alternative pour concevoir des interfaces IHM performantes
Les lois UX émanent de la psychologie cognitive. Cette science étudie le fonctionnement des différentes fonctions cognitives du cerveau (ou boite noire), telles que : la mémoire, la perception, l’attention, le raisonnement, l’intelligence, etc.
La psychologie cognitive est une approche user-centric qui place le cerveau humain au centre de ses analyses. Elle vise à concevoir un modèle mental qui reproduit le comportement humain. Ce modèle sert à simplifier la formulation d’hypothèses pertinentes pour mieux appréhender le raisonnement et le comportement humain.
Cette science a favorisé l’émergence d’un nombre de théories UX centrées sur l’utilisateur. Ces lois permettent à l’UX Designer d’optimiser l’interaction entre l’utilisateur et le système et de parvenir à obtenir un meilleur engagement et un meilleur taux de conversion. En effet, elles permettent de canaliser l’expérience utilisateur, en se basant sur les capacités cognitives du cerveau, ainsi que ses limites.
Notamment, les lois UX prennent en considération la charge mentale, le processus de prise des décisions et les expertises mémorisées, pour trouver le bon compromis entre les caractéristiques cognitives humaines et les fonctionnalités du système. Cela aboutit automatiquement à améliorer l’interaction Homme-Machine et à créer une expérience utilisateur optimale.
Selon les statistiques du site toptal, 94 % des premières impressions sont reliées au design. En effet, le design et la psychologie entretiennent une relation très forte. Tous les enjeux du design, comme la lisibilité des contenus, la convivialité de l’interface, la facilité de navigation et la hiérarchie de l’information, ont un impact considérable sur la compréhension des fonctionnalités du système et la façon avec laquelle l’utilisateur interagit avec ce dernier.
Les facteurs cités précédemment risquent de causer une charge et un blocage cognitifs qui finissent par repousser l’utilisateur ou encore réussir à le convaincre de l’efficacité des services rendus par le système et gagner sa satisfaction.
A cet effet, les lois UX représentent une véritable aubaine pour les UX designers. Elles les aident à produire des modèles d’interactions immersives, qui influencent positivement la perception d’une interface IHM et améliore la qualité d’interaction avec ce dispositif.
Ces théories prennent en considération les limites cognitives qui empêchent le cerveau à mémoriser certains détails précis. Il est capable de se souvenir des aspects plus généraux comme les formes des éléments et les points focaux dans une interface.
A l’aide des lois UX, toutes les pratiques relatives à l’agencement des menus, des boutons d’appel à l’action et à l’organisation des champs d’un formulaire, peuvent être adaptées au modèle mental de l’utilisateur, à ses besoins et à sa façon de percevoir le système. Ces théories s’avèrent très utiles pour :
– Simplifier la perception des interfaces.
– Concevoir des interfaces plus conviviales, intuitives, ergonomiques et faciles à manipuler.
– Répondre à deux critères essentiels de l’UX : utilisabilité et utilité.
– Trouver rapidement l’information recherchée.
– Assurer une navigation facile et fluide
– Optimiser la proposition de valeur du système.
Donc, pour composer une interface IHM efficace, le professionnel UX doit adopter la meilleure stratégie pour hiérarchiser l’information d’une manière cohérente.
Voir cette conférence de Pierre Minelli et Quentin Ledoux de l’Institut Metacom sur “l’UX design et ses leviers psychologiques” :
Les lois UX
La hiérarchie de l’information : un élément clé dans l’UX design
Le cerveau humain effectue un certain effort pour analyser l’information affichée sur une interface et comprendre le message véhiculé. Particulièrement, il cherche à regrouper les éléments selon certains critères et à dégager les connexions entre eux, pour pouvoir réagir convenablement.
Dans ce contexte, l’expert UX doit se pencher sur l’optimisation de la hiérarchie de l’information, afin de permettre à l’utilisateur de comprendre dès la première perception le fonctionnement global du système. Donc, même avant de naviguer entre les pages, le visiteur sera en mesure d’anticiper son parcours UX pour trouver l’information ou le produit/service dont il recherche.
Une hiérarchie pertinente de l’information permet de :
– Supprimer les éléments superflus.
– Rendre le produit/service plus accessible.
– Faciliter et accélérer la compréhension du message communiqué à travers des contenus clairs et hiérarchisés harmonieusement.
– Mieux appréhender la valeur ajoutée du système.
– Proposer une expérience utilisateur percutante sur mobile.
Les lois UX est le garant d’une hiérarchie visuelle efficace qui assure au professionnel UX d’atteindre ses objectifs, en termes de satisfaction de l’utilisateur et de création d’une meilleure UX.
Hiérarchie de l’information en UI Design
Les 16 lois de l’UX
La loi de Jakob pour un usage plus familier
La loi de Jakob se rapporte à son fondateur «Jakob Neilson», qui a proposé plusieurs théories pour l’amélioration de l’efficacité et de l’utilisabilité d’une interface utilisateur.
Cette loi se base sur l’utilisation des modèles d’interactions familiers avec l’utilisateur. Cela facilite son interaction avec le système et lui épargne le temps d’apprendre à interagir avec ce dernier. De ce fait, l’utilisateur se concentrera exclusivement sur son parcours, en se référant à une expérience d’un autre système similaire.
Sur la base de cette théorie, le concepteur UX peut créer une interface intuitive qui offre une navigation confortable et une expérience utilisateur percutante.
La loi de Miller pour favoriser le traitement des informations
La loi de Miller tire son nom de son inventeur : le psychologue cognitif américain George Miller. Elle indique que le cerveau humain ne peut pas accomplir plusieurs tâches en même temps et met en évidence les limites de sa capacité à mémoriser les informations.
Notamment, notre mémoire courte est capable de retenir, en moyenne, 7 informations sur le court terme. A cet effet, la solution la plus pertinente est de décomposer l’information en des fragments, pour la rendre plus simple, plus accessible et plus facile à appréhender. Cette fragmentation permet d’obtenir des groupes d’informations (contenant de 5 à 9 éléments) plus faciles à mémoriser et à gérer.
Cette décomposition permet aussi de réduire le nombre de choix à faire pour réaliser une action. Ce qui diminue par conséquent le temps de traitement de l’information et de prise de décision.
Pour aboutir à une meilleure mémorisation d’un site ou d’une application, l’UX designer doit exploiter cette loi pour composer des interfaces épurées et légères. C’est la meilleure alternative pour éviter de surcharger le cerveau de l’utilisateur par beaucoup d’informations et lui assurer une UX notable.
La loi de Parkinson pour optimiser le temps de réalisation d’une interaction
Cette loi a été énoncée par l’historien britannique Cyril Northcote Parkinson. Ce professeur a proposé une interprétation de la façon avec laquelle les employés effectuent leur travail pour remplir tout le temps nécessaire pour sa réalisation. Le résultat a débouché sur le fait que les collaborateurs tendent à optimiser leur qualité de travail pour atteindre ce but. Ce qui engendre consécutivement plus de temps et plus d’effort. De ce fait, les fonctionnaires parviennent à occuper tout le temps défini pour effectuer le travail demandé.
Donc, le fait de créer une interface intéressante qui répond convenablement aux interactions de l’utilisateur, permet de s’assurer que ce dernier prend le temps nécessaire pour parcourir et consulter le site ou l’application.
La loi de Prägnanz pour concevoir une interface plus simple
La loi Prägnanz (ou la loi de bonne figure) ou loi de simplicité concerne la théorie de simplifier la complexité des figures perçues par l’utilisateur.
L’œil humain simplifie la perception des figures complexes en les transformant en des objets épurés de tous détails inutiles. Donc, pour supporter cet effort, le concepteur UX doit purger l’interface IHM des informations parasites et encombrantes. C’est la bonne alternative pour éviter la charge cognitive et le désintérêt de l’utilisateur.
Donc, dans l’objectif de concevoir des interfaces simples et intuitives, le professionnel de l’UX doit éviter les pages compliquées et qui sont surchargées d’informations : phrases trop longues et complexes, des couleurs à fort contraste qui peuvent gêner la vision, etc.
La loi de Tesler pour réduire la complexité de l’interaction
Cette loi proposée par l’informaticien américain Larry Tesler vise à réduire la complexité du fonctionnement du système, dans l’objectif de simplifier l’interaction IHM.
L’UX designer préfère souvent réduire la complexité des fonctionnalités, dans l’objectif d’éviter de compliquer le parcours de l’utilisateur.
Toutefois, même en optimisant le fonctionnement du système, l’utilisateur peut être parfois dérouté et compliquer son expérience, malgré la simplicité du parcours. En effet, certaines interactions sont de nature complexe. Dans ce cas, l’expert UX doit trouver les bonnes astuces pour alléger l’ampleur de l’interaction. Pour ce faire, il peut intégrer certaines actions ludiques : de drôles émoticones, des animations amusantes, etc.
L’effet Von Restroff pour marquer les éléments importants
L’effet Von Restroff ou effet d’isolement a été nommé par la psychiatre éponyme lors de ses recherches postdoctorales à l’université de Berlin. Cette théorie applique certaines pratiques pour distinguer les éléments les plus importants visuellement.
Le cerveau humain retient les éléments les plus marquants. Par exemple, le fait de souligner un mot dans une phrase, par une couleur saillante ou en le mettant en gras, captive rapidement l’attention et permet de l’enregistrer facilement dans la mémoire.
Il existe plusieurs autres techniques qui permettent de favoriser la mémorisation de la marque comme : les vidéos animées, les gifs animés, les effets en arrière plans, etc.
L’effet Zeigarnik pour se rappeler des tâches inaccomplies
L’effet Zeigarnik a été proposé par la psychologue russe à laquelle il doit son nom. Cet effet stipule que le cerveau mémorise les actions interrompues et inachevées plus que celles accomplies.
A titre d’application de cet effet, le professionnel UX peut concevoir une barre de progression pour indiquer à l’utilisateur le niveau de progression dans l’accomplissement d’une action.
La loi de Fitts pour comprendre le mouvement humain
La loi de Fitts tire son origine de la théorie de la mécanique de l’homme. Elle est relative au psychologue Paul Fitts. Elle vise à appréhender les mouvements physiques des humains.
Cette loi se base sur une méthode mathématique prédictive axée sur un logarithme binaire. Cela veut dire qu’il s’agit d’une analyse non linéaire qui fournit un résultat sous forme d’une courbe, pour mesurer le temps nécessaire pour atteindre une cible donnée. Cette mesure dépend de la taille du point d’arrivée et de la distance à parcourir pour l’atteindre.
Parfois, les résultats de cette loi peuvent induire en erreur quand il s’agit d’analyser des situations avec des mouvements assez rapides ou des petites tailles des points cibles.
Appliquée dans le domaine de l’UX/UI, la loi de Fitts affirme son efficience dans la conception des interfaces utilisateur et l’interaction homme-machine. Cette loi évalue la vitesse d’accès et la précision de l’action de pointage, qui impacte directement la qualité de l’expérience.
Les éléments d’une interface les plus petits ou les plus distants engendrent un temps de pointage plus important, ce qui dégrade la qualité de l’UX. Notamment, un élément de l’interface IHM comme : un bouton de validation d’un formulaire, ou un bouton Call To Action ou un lien hypertexte, doit être conçu avec une taille plus grande et placé dans une zone aisément atteignable.
Idéalement, les composants d’une interface doivent être agencés d’une manière aérée afin de les rendre plus accessibles. De la sorte, ils seront plus faciles à identifier et à utiliser.
Cette loi permet aussi de dévoiler les zones de confort d’une interface IHM. Ces zones désignent les espaces facilement accessibles par l’utilisateur, selon le contexte d’usage : l’appareil utilisé (desktop, Smartphone), le mode d’affichage (portrait ou paysage), la façon de prise en main du terminal mobile pour consulter une interface, etc.
On peut conclure alors que la taille et la distance représentent des conditions essentielles pour jauger l’utilisabilité et l’efficacité de l’interface.
La loi de Hick pour optimiser le temps de prise de décision
Le principe de cette loi a été découvert par William Edmund Hick et Ray Hyman. Cette théorie vise à optimiser le temps nécessaire pour prendre une décision et faire une action. En effet, ce temps est influencé par le degré de complexité de la tâche à accomplir. Plus cette dernière est compliquée, plus ce temps sera important.
Certaines personnes croient que plus elles mettent du temps pour prendre une décision, plus elles auront la chance de faire les bons choix. Par contre, ce constat n’est pas toujours réel, car les décisions longuement analysées ne donnent pas toujours le résultat escompté.
La loi de Postel pour une interaction plus fluide
Cette loi a été inventée par l’informaticien américain Jon Postel. Elle vise à rendre l’interaction plus flexible et plus fluide en diminuant le taux d’erreur. Pour ce faire, cette théorie autorise un certain niveau de tolérance concernant les éventuelles erreurs que l’utilisateur peut commettre.
Notamment, le système peut tolérer certains champs erronés, qu’il se charge de rectifier en temps réel et fournir à l’utilisateur certains commentaires pour l’assister dans son parcours. Cette flexibilité suscite l’empathie de l’utilisateur et répond plus convenablement à ses attentes. C’est ce qui lui permet d’assurer une UX plus souple.
Les 6 lois de la GESTALT
Les lois de Gestalt (la théorie des formes en allemand) décortiquent la manière de perception des objets. Ces théories visent à concevoir des interfaces user-centric qui prennent en considération la perception visuelle de l’utilisateur de la composition des éléments de l’interface.
Ces théories contribuent à agencer les éléments d’une manière :
– structurée pour éviter la charge cognitive et aider le cerveau à assimiler l’information plus aisément.
– captivante pour attirer l’attention de l’utilisateur, notamment sur les éléments les plus importants.
Voici les 6 lois essentielles pour appliquer la théorie de Gestalt :
- Loi de la bonne forme
Le regroupement des formes les plus proches graphiquement indique que ces éléments appartiennent au même groupe. Cette organisation permet à l’utilisateur d’appréhender rapidement les fonctionnalités de chaque groupe d’éléments et d’interagir plus efficacement avec l’interface.
Notamment, le nouveau logo de Google suit cette loi. Il rassemble 4 formes géométriques similaires, qui portent ses couleurs marquantes afin de renforcer sa mémorisation.
De ce fait, chaque fois où l’internaute rencontre ces formes colorées, il comprend directement qu’il s’agit de différents services de Google : mail, map, drive, play, etc.
- La loi de proximité
Cette loi signale que les composants qui sont placés à proximité les uns des autres, appartiennent à un groupe homogène.
L’agencement éloigné des composants semblables requiert plus de temps pour accomplir la séquence des tâches requise pour réaliser une interaction donnée. De ce fait, il faut prévoir des distances courtes entre les éléments homologues, afin de favoriser leur accessibilité.
Cette théorie est très utile pour former des groupes de concepts, d’idées et de composants graphiques et aider l’utilisateur à les distinguer facilement. Ce qui lui offre une meilleure expérience.
En guise d’illustration, le logo d’IBM est composé de blocs de traits qui retracent les 3 lettres de ce logo. Cette illustration permet à l’utilisateur de mémoriser la marque.
Toutefois, il faut faire attention dans l’utilisation de cette loi, car il faut garder un certain espace entre les formes, afin d’éviter de perdre leur sens d’organisation.
Le respect de proximité permet aux visiteurs de comprendre explicitement les relations entre les groupes d’éléments et les fonctionnalités offertes par chaque bloc de la page : zone de contact, zone de formulaire, zone call to action, etc,
- La loi de continuité
Cette loi se base sur le design continu qui repose sur le rapprochement des éléments. Elle permet d’indiquer au visiteur qu’il doit poursuivre son parcours pour acquérir toute l’information recherchée et réaliser une interaction complète.
Cette loi est très utilisée dans les blogs. Le but est d’éviter l’encombrement de la page d’accueil, on met en place des extraits issus des articles avec un lien ou un bouton « Lire la suite » qui mène vers la page correspondante à l’article sélectionné.
Dans un autre exemple d’application : il est pertinent de suivre cette théorie pour interpréter un histogramme. Il est plus facile d’analyser les informations d’un histogramme avec des barres classées selon leurs tailles, plutôt qu’un histogramme avec des barres classées d’une manière aléatoire.
L’UX designer peut profiter de cette loi pour concevoir un système de navigation fluide, cohérent et stable, qui aide le visiteur à anticiper l’interaction suivante et lui offre une UX plus agréable.
- La loi de similitude
Cette loi indique que les éléments d’un groupe, qui partagent plusieurs détails en commun (taille, couleur, forme, etc), réalisent des fonctionnalités similaires. Cette loi est avantageuse pour la perception visuelle des formes, car elle aide le cerveau à interpréter la hiérarchie informationnelle de l’interface IHM plus facilement.
Notamment, une boutique e-commerce a tout intérêt à utiliser cette loi afin de fournir au visiteur une organisation plus optimale de ses produits et l’aider à trouver plus rapidement l’article dont il recherche.
La loi de similitude s’applique aussi dans le design des liens hypertexte. Le designer peut utiliser la même couleur ou la même taille (ou type) de police pour indiquer qu’il s’agit d’un hyperlien.
- La loi de la clôture
La loi de clôture incite le cerveau à imaginer des scénarios pour combler les espaces vides dans une interface, à fermer les formes inachevées, afin de reconnaître un élément dans son aspect complet. Notamment, cette loi est efficace pour la réalisation des logos simples et stylisés.
- La loi de destin commun
Cette loi indique que les éléments en mouvement et qui suivent la même trajectoire appartiennent au même groupe. Cette théorie est appliquée couramment dans la conception des sliders et des animations. Autrement, le concepteur UX peut utiliser le même style d’arrière-plan pour marquer les ensembles d’éléments homogènes.
Conclusion
Les lois UX se réfèrent aux conclusions des théories de la psychologie cognitive pour comprendre comment l’utilisateur perçoit une interface IHM, comment il traite l’information qu’il acquiert et quelle décision peut-il prendre pour réagir.
Puisque ces théories placent l’humain au centre de leurs études, elles permettent de créer des interfaces efficaces en termes d’usage et d’ergonomie, ce qui garantit une meilleure UX.
L’ergonomie, notamment l’ergonomie cognitive, constitue un autre facteur déterminant pour composer des interfaces faciles d’utilisation par la majorité des utilisateurs.